Portugal 2018
- fabio
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Qqls photos!
Entrée au Portugal par Miranda do Douro.
puis Bragança
Belles balades à vélo sur des petites routes dans le parc naturel de Montesinho. Dans ces villages perdus dans la montagne, on se croirait revenu 100 ans en arrière.
Ensuite direction le parc national de Peneda-Géres
A suivre!
Entrée au Portugal par Miranda do Douro.
puis Bragança
Belles balades à vélo sur des petites routes dans le parc naturel de Montesinho. Dans ces villages perdus dans la montagne, on se croirait revenu 100 ans en arrière.
Ensuite direction le parc national de Peneda-Géres
A suivre!
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- ravely
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Et par curiosité, au Portugal on parle quoi quand on ne connait pas le portugais....
pensée du jour :"sois toi-même tous les autres sont déjà pris" Oscar Wilde
@ Mon 1ier Traf L2H1 dit "Le jaune"
le Traf-Star de chez Nissan
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le Traf-Star de chez Nissan
- fabio
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Le français! Partout même dans les petits villages, tu tombes sur qqls un qui parle français.
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- ravely
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Un maçon portugais qui a bossé en france et pris sa retraite au portugal....
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Ils sont venus par centaines de milliers, maçons mais aussi chez Renault ou Citroën, concierges, etc. Des bosseurs. Beaucoup sont repartis , d' autres sont restés en France. Il m' est arrivé à Estremoz de remplir un dossier en Français pour une retraitée. Ils ont en général gardé la secu pour ceux qui l' ont pu et sont un peu des privilégiés dans un pays où le smig avoisine les 500€.ravely a écrit :Un maçon portugais qui a bossé en france et pris sa retraite au portugal....
Mais surtout, toujours prêts à rendre service.
C'est histoire avec notre pays fait d'ailleurs qu'on est la plupart du temps super bien accueilli en temps que Français ... La plupart des Portugais ont des liens avec la France
Moi je parlais un mélange Franco Espagnol , mais de toute manière même dans les pays où on ne parle pas la langue du tout , on est toujours arrivé à bien se faire comprendre ... C'est même assez amusant finalement quand on ne cause pas la langue ... Dès le départ t'apprends le minimum vital , bonjour , merci , au revoir, je suis français ....etc... Et après vive le langage des signes
Moi je parlais un mélange Franco Espagnol , mais de toute manière même dans les pays où on ne parle pas la langue du tout , on est toujours arrivé à bien se faire comprendre ... C'est même assez amusant finalement quand on ne cause pas la langue ... Dès le départ t'apprends le minimum vital , bonjour , merci , au revoir, je suis français ....etc... Et après vive le langage des signes
- fabio
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Dans le minimum vital, t'oublies:
cerveja, petiscos, vinho et ses adjectifs (branco, verde et tinto)....
Etape à Campo do Géres et balades:
Puis direction Soajo et ses espigueiros (greniers à grains).
Puis direction la cote en suivant la frontière et le Minho.
A+ (si çà vous intéresse!)
cerveja, petiscos, vinho et ses adjectifs (branco, verde et tinto)....
Etape à Campo do Géres et balades:
Puis direction Soajo et ses espigueiros (greniers à grains).
Puis direction la cote en suivant la frontière et le Minho.
A+ (si çà vous intéresse!)
Modifié en dernier par fabio le lun. 01 oct. 18 20:00, modifié 1 fois.
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- a666
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la langue parlé sur place hormis le portugais dépend de l'âge et de la zone: sud-ouest c'est anglais chez les jeunes, nord-est français chez les plus âgés. avec le français seul on ne passe vraiment pas partout! de manière générale aux accueils de sites, campings, restaurants, caissières au supermarché, etc: c'est l'anglais qui prime.
dans des régions très paumés (Alentejo) l'espagnol passe en dépannage tant que l'on remplace gracias par obrigado/opbrigada!
dans des régions très paumés (Alentejo) l'espagnol passe en dépannage tant que l'on remplace gracias par obrigado/opbrigada!
a+
andré
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aménageur de trafic depuis 2010
ancien aménagement: berlingo 2
premier "aménagement" golf I...
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- fabio
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- Romarin 06
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Bonsoir,
Près de deux mois après notre retour, je peux prendre le temps de faire un compte-rendu (succinct) qui sera peut-être plus objectif que s'il avait été fait à "chaud". C'est le reflet de nos ressentis, et il probable (certain) que d'aucuns auront un avis bien différents. Heureusement que nous ne pensons pas tous de la même façon...
Alors ?
Nous ne sommes pas rentrés totalement déçus, mais pas franchement enthousiasmés non plus.
Sans doute nos attentes étaient-elles mal ciblées et/ou trop grandes.
Par ailleurs partis sans objectif précis et comme déjà dit, sans nos jouets habituels, nous avons eu le sentiment d'une fuite en avant dans la quête du Graal touristique.
En terme de bilan : nous sommes partis 21 jours, pour 17 jours sur place, et un peu plus de 5800 km parcourus.
C'est beaucoup même si l'accès à la frontière hispano-portugaise, et le retour représentent quasiment 3000 km.
Les bivouacs sont effectivement possibles à peu près partout, mais les conditions (parking plus ou moins remplis et/ou urbanisés) ne sont pas forcément celles que nous apprécions. Dans les faits, nous avons souvent beaucoup cherché un "coin tranquille", sans forcément le trouver.
Pour des questions pratiques (douches, lessive, vidange, plein d'eau...) nous avons fait le choix d'aller en camping une nuit sur trois.
Nous avons vu de très beaux coins qu'ils soient maritimes ou dans l'intérieur, de très belles villes (le patrimoine historique et son corolaire le bâti est exceptionnel) mais ce n'est pas une exclusivité portugaise. Nous avons aussi vu des horreurs balnéaires destinées à recevoir les cohortes d'estivants et ça, nous ne nous y attendions pas.
Une remarque, qui n'a rien à voir avec ce qui précède, il faut interdire l'usage des allumettes aux portugais...
Autre remarque, il n'avait pas plu depuis un temps certain. La végétation (celle qui n'a pas été incendiée) était bien cramée (par le soleil) et la terre des pistes et chemins était totalement pulvérulente.
Entrée au Portugal par Miranda do Douro, descente vers Porto plus ou moins par la vallée du Douro, puis nous avons globalement suivi la côte, avec quelques détours dans les terres, jusqu'à Tavira.
Remontée en zig par l'intérieur, avec un zag à Lisbonne "raté" à la descente.
Nous sommes ressortis par Vilar Formoso, pour visiter Salamanque sur la route du retour, après un passage par la Serra da Estrela.
Photos à venir...
Écrit par stef83 le 27 septembre...Bon c'est pas tout, j'attends photos et détails de Romarin parce que quand je lis ça :
Romarin 06 a écrit:
Nous avons beaucoup roulé (beaucoup trop ) mais c'était prévisible dans la mesure où nous n'avions pas emmené les matériels pour pratiquer nos activités habituelles (kayak, VTT) et que la plage pour la plage, ça va bien un moment, c'est rapidement inintéressant.
je me demande si notre ami Maralpin a bien apprécié la Lusitanie
Près de deux mois après notre retour, je peux prendre le temps de faire un compte-rendu (succinct) qui sera peut-être plus objectif que s'il avait été fait à "chaud". C'est le reflet de nos ressentis, et il probable (certain) que d'aucuns auront un avis bien différents. Heureusement que nous ne pensons pas tous de la même façon...
Alors ?
Nous ne sommes pas rentrés totalement déçus, mais pas franchement enthousiasmés non plus.
Sans doute nos attentes étaient-elles mal ciblées et/ou trop grandes.
Par ailleurs partis sans objectif précis et comme déjà dit, sans nos jouets habituels, nous avons eu le sentiment d'une fuite en avant dans la quête du Graal touristique.
En terme de bilan : nous sommes partis 21 jours, pour 17 jours sur place, et un peu plus de 5800 km parcourus.
C'est beaucoup même si l'accès à la frontière hispano-portugaise, et le retour représentent quasiment 3000 km.
Les bivouacs sont effectivement possibles à peu près partout, mais les conditions (parking plus ou moins remplis et/ou urbanisés) ne sont pas forcément celles que nous apprécions. Dans les faits, nous avons souvent beaucoup cherché un "coin tranquille", sans forcément le trouver.
Pour des questions pratiques (douches, lessive, vidange, plein d'eau...) nous avons fait le choix d'aller en camping une nuit sur trois.
Nous avons vu de très beaux coins qu'ils soient maritimes ou dans l'intérieur, de très belles villes (le patrimoine historique et son corolaire le bâti est exceptionnel) mais ce n'est pas une exclusivité portugaise. Nous avons aussi vu des horreurs balnéaires destinées à recevoir les cohortes d'estivants et ça, nous ne nous y attendions pas.
Une remarque, qui n'a rien à voir avec ce qui précède, il faut interdire l'usage des allumettes aux portugais...
Autre remarque, il n'avait pas plu depuis un temps certain. La végétation (celle qui n'a pas été incendiée) était bien cramée (par le soleil) et la terre des pistes et chemins était totalement pulvérulente.
Entrée au Portugal par Miranda do Douro, descente vers Porto plus ou moins par la vallée du Douro, puis nous avons globalement suivi la côte, avec quelques détours dans les terres, jusqu'à Tavira.
Remontée en zig par l'intérieur, avec un zag à Lisbonne "raté" à la descente.
Nous sommes ressortis par Vilar Formoso, pour visiter Salamanque sur la route du retour, après un passage par la Serra da Estrela.
Photos à venir...
"Le mieux est l'ennemi du bien"... Mais c'est bien d'essayer de faire mieux !
"Choisir c'est renoncer"
Mon aménagement sur Trafic
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Mon précédent aménagement: viewtopic.php?t=28862&highlight=jumpy+++nuit
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- Romarin 06
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Bonjour,
Comme prévu hier place aux photos, à quelques commentaires aussi.
La route est longue et parfois très monotone dans la traversée de l'Espagne.
Premier bivouac à proximité de Miranda do Douro. Je demande au paysan, l'homme au tracteur, si je pouvais m'installer à proximité de l'abreuvoir où il remplissait sa citerne.
Il a insisté pour que nous nous installions dans son champs. Je pense qu'il se serait vexé si j'avais refusé...
La vallée du Douro.
Les pentes des collines ont été complétement façonnées pour optimiser la culture de la vigne.
Nous avons vu des pelleteuses entailler les collines pour créer des km de banquettes.
Dans certains secteurs la vigne est remplacée par des oliviers.
Porto
Barque traditionnelle dans la région d'Aveiro.
Aveiro.
Le temps étant décidément bien gris sur la côte, nous faisons une incursion dans les terres (grand beau à 10 km de l'océan) dans la forêt de Buçaco.
Coimbra à 9h00.
Heureusement ça fini par se lever...
Vers midi, il fait beau nous décidons d'aller nous baigner, à minima de passer un moment à la plage.
La plage , même les goélands sont circonspects...
Le genre de paysage que nous traversons, sur des dizaines de km, le long de l'océan.
C'est écrit dessus.
La ville haute est plus sympa.
C'est là... Praia do Norte, le site de la plus haute vague surfée du monde...
Obidos.
Peniche.
Sintra et le Palacio Nacional que nous visitons.
Nous ne visitons pas le palais national de Pena, trop de monde, et puis deux palais dans la journée c'est trop pour nous...
Cabo da Roca, dans le brouillard . C'est le point le plus à l'ouest de l'Europe continentale. Nous n'avons pas vu l'Amérique .
Le lendemain, nous avions prévu Lisbonne, mais... Embouteillage sur l'autoroute, le temps passe, passe... Je décide de sortir sauf que la bretelle empruntée nous mène de l'autre coté du Tage par le pont du 25 avril.
Qu'à cela ne tienne, me dis-je, je sors de la rocade et je reviens rive droite pour me poser.
Bim, un accident sur la rocade. Embouteillage, le temps passe, passe il est déjà 10h30, et c'est un peu tard pour attaquer la visite de Lisbonne.
Direction le sud. Nous prenons le ferry à Setubal, on va à la plage,
où nous nous somme baignés. L'eau n'était pas "si" froide, même si on ne peut pas dire qu'elle était chaude .
Bivouac sympa, mais le temps est toujours grisou en bord de mer .
Carapateira.
Cabo de Sao Vicente, dans le brouillard ...
Lagos et la Punta da Piedade. Ça doit être sans bien tous les bateaux et les braillards qui les empruntent. Passons vite, d'autant que le soleil n'est pas resplendissant.
On évite les nasses à touriste de la côte même s'il doit y avoir de jolis coins, direction Silves.
On évite Faro, passage par Olhao,
En recul du port, les murs de ce que je pense être une ancienne conserverie sont peints de fresques monochromes sur plusieurs dizaines de mètres. Réaliste et bien joli ;
puis par Tavira
avant d'aller à la plage
où l'eau était largement baignable.
La suite arrive...
Comme prévu hier place aux photos, à quelques commentaires aussi.
La route est longue et parfois très monotone dans la traversée de l'Espagne.
Premier bivouac à proximité de Miranda do Douro. Je demande au paysan, l'homme au tracteur, si je pouvais m'installer à proximité de l'abreuvoir où il remplissait sa citerne.
Il a insisté pour que nous nous installions dans son champs. Je pense qu'il se serait vexé si j'avais refusé...
La vallée du Douro.
Les pentes des collines ont été complétement façonnées pour optimiser la culture de la vigne.
Nous avons vu des pelleteuses entailler les collines pour créer des km de banquettes.
Dans certains secteurs la vigne est remplacée par des oliviers.
Porto
Barque traditionnelle dans la région d'Aveiro.
Aveiro.
Le temps étant décidément bien gris sur la côte, nous faisons une incursion dans les terres (grand beau à 10 km de l'océan) dans la forêt de Buçaco.
Coimbra à 9h00.
Heureusement ça fini par se lever...
Vers midi, il fait beau nous décidons d'aller nous baigner, à minima de passer un moment à la plage.
La plage , même les goélands sont circonspects...
Le genre de paysage que nous traversons, sur des dizaines de km, le long de l'océan.
C'est écrit dessus.
La ville haute est plus sympa.
C'est là... Praia do Norte, le site de la plus haute vague surfée du monde...
Obidos.
Peniche.
Sintra et le Palacio Nacional que nous visitons.
Nous ne visitons pas le palais national de Pena, trop de monde, et puis deux palais dans la journée c'est trop pour nous...
Cabo da Roca, dans le brouillard . C'est le point le plus à l'ouest de l'Europe continentale. Nous n'avons pas vu l'Amérique .
Le lendemain, nous avions prévu Lisbonne, mais... Embouteillage sur l'autoroute, le temps passe, passe... Je décide de sortir sauf que la bretelle empruntée nous mène de l'autre coté du Tage par le pont du 25 avril.
Qu'à cela ne tienne, me dis-je, je sors de la rocade et je reviens rive droite pour me poser.
Bim, un accident sur la rocade. Embouteillage, le temps passe, passe il est déjà 10h30, et c'est un peu tard pour attaquer la visite de Lisbonne.
Direction le sud. Nous prenons le ferry à Setubal, on va à la plage,
où nous nous somme baignés. L'eau n'était pas "si" froide, même si on ne peut pas dire qu'elle était chaude .
Bivouac sympa, mais le temps est toujours grisou en bord de mer .
Carapateira.
Cabo de Sao Vicente, dans le brouillard ...
Lagos et la Punta da Piedade. Ça doit être sans bien tous les bateaux et les braillards qui les empruntent. Passons vite, d'autant que le soleil n'est pas resplendissant.
On évite les nasses à touriste de la côte même s'il doit y avoir de jolis coins, direction Silves.
On évite Faro, passage par Olhao,
En recul du port, les murs de ce que je pense être une ancienne conserverie sont peints de fresques monochromes sur plusieurs dizaines de mètres. Réaliste et bien joli ;
puis par Tavira
avant d'aller à la plage
où l'eau était largement baignable.
La suite arrive...
"Le mieux est l'ennemi du bien"... Mais c'est bien d'essayer de faire mieux !
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- freerider
- Traficaménageur
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- Enregistré le : lun. 07 nov. 05 19:49
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si tu t'es baigné au Portugal, tu peux largement te baigner en Bretagne
merci pour le report
merci pour le report
Si vous pliez une feuille 42 fois, elle sera assez épaisse pour atteindre la Lune
Les êtres humains ont 50% de leur ADN identique à celui des bananes
T4 2.5L TDI syncro L2H1
70% route/ville 30% autoroute/montagne/chemins/remorque :
Les êtres humains ont 50% de leur ADN identique à celui des bananes
T4 2.5L TDI syncro L2H1
70% route/ville 30% autoroute/montagne/chemins/remorque :
- MELOPILO
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Romarin 2019 = BZH !freerider a écrit :si tu t'es baigné au Portugal, tu peux largement te baigner en Bretagne
Tu as fait pile poil autant de bornes que moi pour monter en bzh et faire le tour de l'Irlande (5719)... ça tourne vite et c'est une bonne info...
Très sympa les photos, on les attendait avec impatience en complément de celles de Fabio.
- Romarin 06
- Traficaménageur
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Bonjour,
Je fais un peu ce que je veux avec mes baignades , non mais... Et puis BZH c'était en 2017. On ne va quand même pas pas aller dans le norrrrd tous les deux ans...
Et puis c'est dangereux .
Retour au Portugal...
A ce stade, ça fait 10 jours que nous y sommes. En gros il nous reste 6 à 7 jours à passer sur place si nous voulons être à Bagnères de Bigorre le dimanche suivant.
Pas de programme, mais quelques points de passage "obligés", dont Lisbonne raté à la descente...
Notre remontée vers le nord commence en suivant au plus près le Rio Guadiana. Ça nous change des paysages maritimo-balnéaires .
Bivouac dans une oliveraie à quelques mètres du fleuve, malheureusement la hauteur des berges, qui plus est totalement embroussaillées, ne nous a pas permis la baignade/toilette. Tant pis, nous nous sommes contentés de la douche au cul du fourgon.
De beaux villages le long du parcours, coté espagnol...
Et coté lusitanien. Mértola.
Tout le long du Guadiana, il apparait clairement qu'espagnols et portugais se sont regardés en chiens de faïence pendant quelques siècles, une forteresse domine quasiment chaque village...
La route nous a amené à Arraiolos en cours d'après-midi.
Encore un château fort... Le village n'est pas exceptionnel, mais son artisanat oui. Mon épouse ne voulait rater sous aucun prétexte les tapis caractéristiques. Heureusement, qu'on avait pas la place dans le Trafic, les €uros non plus d'ailleurs, pour en ramener un.
Bivouac sympa ou bord d'un lac, et le lendemain c'est visite d'Evora,
que nous avons bien aimé.
Direction Lisbonne en cours d'après-midi, arrivée par le pont Vasco de Gama.
Pour être relativement sereins, nous nous installons au Lisboa Camping et nous nous déplacerons en transport en commun.
Le fameux tram n° 28.
Bien qu'arrivés tôt, toutes les places assises sont occupées par des touristes, oui comme nous, et les lisboètes font la gueule, à juste titre.
Les mères avec enfant(s) en bas âge restent debout, les vieux aussi... Comme nous n'étions pas assis, nous n'avons pas pu céder notre place ; sentiment de malaise quand même... Nous nous sommes laissés bringuebaler un gros quart d'heure sans voir grand chose (debout dans l'allée on est au dessus du niveau haut des fenêtres...) et puis, lassés, nous sommes descendus je ne sais où.
L'attraction est victime de son succès , et en faire la promotion frise l'arnaque...
On enchaine avec le métro, après avoir "un peu" cherché notre chemin.
Un tour dans l'Alfama, les petites rues sont relativement calmes,
la foule se presse pour visiter le Caste de Sao Jorge, du coup on y va pas...
Déambulations par ci et par là, je ne vais pas vous mettre toutes les photos. Eh puis il est l'heure de manger... Dans un petit resto qui ne paye pas de mine, mais où ça n'arrête pas de rentrer et sortir. Et ce ne sont pas des touristes... Poisson, vino verde, Pastéis de Nata
, vhat else ? Café bien sûr .
Direction Belem et sa tour.
Nous faisons la queue un bon quart d'heure, pour découvrir une affichette qui en gros dit ceci :
"Il y a un escalier de 93 marches pour accéder au sommet de la tour, il est très étroit. Déconseillé aux cardiaques et aux obèses (c'était dit différemment). Temps d'attente : 1h30 à 2h00."
Bien que ni cardiaque ni obèse, ça sera sans nous .
Direction la tour de la découverte, au moins il y a un ascenseur (déconseillé aux claustrophobes ).
Retour dans Lisbonne centre, en bus.
Déambulations toujours, et on se dit qu'on irait bien voir le coucher de soleil au sommet de l'ascenseur de la rue San Justa.
Une queue pas possible qui remonte dans toute la rue.
A raison de 18 personnes par montée, très espacées les montées, y'en a pour plus de deux heures d'attente.
Ras le bol des files d'attente, et puis j'ai envie d'une mousse, nous filons.
Retour au camping vers 21h30...
Il nous reste le passage "obligé" par la Serra da Estrella, aujourd'hui c'est route, non sans prendre quelques détours.
Culture des tomates, au sol, dans la plaine alluviale du Tage. D'énorme machines, style moissonneuse batteuse, ramasse les tomates qui sont transportées par des semi-remorque pleins à ras-bord vers , des usines à n'en pas douter.
Serra da Estrella, une fontaine avec de l'eau naturelle qui n'a pas goût de chlore, parce que partout ailleurs au robinet elle est franchement mauvaise.
Le Mont de la Torre, point culminant du Portugal, et sa station de ski.
La vallée de Zêzere. Remarquable auge glaciaire, un cas d'école.
En descendant vers Gouveia (j'aurais pu ajouter d'autres photos...).
Passage par Guarda.
Ce soir nous bivouaquons en Espagne à proximité du Rio Huebra.
Samedi, sur la route du retour, c'est visite de Salamanque,
qu'il ne faut manquer sous aucun prétexte.
Enfin le dimanche, comme prévu, nous traversons les Pyrénées par le Col de la Pierre St Martin, c'est quand même plus sympa que l'autoroute.
Je fais un peu ce que je veux avec mes baignades , non mais... Et puis BZH c'était en 2017. On ne va quand même pas pas aller dans le norrrrd tous les deux ans...
Et puis c'est dangereux .
Retour au Portugal...
A ce stade, ça fait 10 jours que nous y sommes. En gros il nous reste 6 à 7 jours à passer sur place si nous voulons être à Bagnères de Bigorre le dimanche suivant.
Pas de programme, mais quelques points de passage "obligés", dont Lisbonne raté à la descente...
Notre remontée vers le nord commence en suivant au plus près le Rio Guadiana. Ça nous change des paysages maritimo-balnéaires .
Bivouac dans une oliveraie à quelques mètres du fleuve, malheureusement la hauteur des berges, qui plus est totalement embroussaillées, ne nous a pas permis la baignade/toilette. Tant pis, nous nous sommes contentés de la douche au cul du fourgon.
De beaux villages le long du parcours, coté espagnol...
Et coté lusitanien. Mértola.
Tout le long du Guadiana, il apparait clairement qu'espagnols et portugais se sont regardés en chiens de faïence pendant quelques siècles, une forteresse domine quasiment chaque village...
La route nous a amené à Arraiolos en cours d'après-midi.
Encore un château fort... Le village n'est pas exceptionnel, mais son artisanat oui. Mon épouse ne voulait rater sous aucun prétexte les tapis caractéristiques. Heureusement, qu'on avait pas la place dans le Trafic, les €uros non plus d'ailleurs, pour en ramener un.
Bivouac sympa ou bord d'un lac, et le lendemain c'est visite d'Evora,
que nous avons bien aimé.
Direction Lisbonne en cours d'après-midi, arrivée par le pont Vasco de Gama.
Pour être relativement sereins, nous nous installons au Lisboa Camping et nous nous déplacerons en transport en commun.
Le fameux tram n° 28.
Bien qu'arrivés tôt, toutes les places assises sont occupées par des touristes, oui comme nous, et les lisboètes font la gueule, à juste titre.
Les mères avec enfant(s) en bas âge restent debout, les vieux aussi... Comme nous n'étions pas assis, nous n'avons pas pu céder notre place ; sentiment de malaise quand même... Nous nous sommes laissés bringuebaler un gros quart d'heure sans voir grand chose (debout dans l'allée on est au dessus du niveau haut des fenêtres...) et puis, lassés, nous sommes descendus je ne sais où.
L'attraction est victime de son succès , et en faire la promotion frise l'arnaque...
On enchaine avec le métro, après avoir "un peu" cherché notre chemin.
Un tour dans l'Alfama, les petites rues sont relativement calmes,
la foule se presse pour visiter le Caste de Sao Jorge, du coup on y va pas...
Déambulations par ci et par là, je ne vais pas vous mettre toutes les photos. Eh puis il est l'heure de manger... Dans un petit resto qui ne paye pas de mine, mais où ça n'arrête pas de rentrer et sortir. Et ce ne sont pas des touristes... Poisson, vino verde, Pastéis de Nata
, vhat else ? Café bien sûr .
Direction Belem et sa tour.
Nous faisons la queue un bon quart d'heure, pour découvrir une affichette qui en gros dit ceci :
"Il y a un escalier de 93 marches pour accéder au sommet de la tour, il est très étroit. Déconseillé aux cardiaques et aux obèses (c'était dit différemment). Temps d'attente : 1h30 à 2h00."
Bien que ni cardiaque ni obèse, ça sera sans nous .
Direction la tour de la découverte, au moins il y a un ascenseur (déconseillé aux claustrophobes ).
Retour dans Lisbonne centre, en bus.
Déambulations toujours, et on se dit qu'on irait bien voir le coucher de soleil au sommet de l'ascenseur de la rue San Justa.
Une queue pas possible qui remonte dans toute la rue.
A raison de 18 personnes par montée, très espacées les montées, y'en a pour plus de deux heures d'attente.
Ras le bol des files d'attente, et puis j'ai envie d'une mousse, nous filons.
Retour au camping vers 21h30...
Il nous reste le passage "obligé" par la Serra da Estrella, aujourd'hui c'est route, non sans prendre quelques détours.
Culture des tomates, au sol, dans la plaine alluviale du Tage. D'énorme machines, style moissonneuse batteuse, ramasse les tomates qui sont transportées par des semi-remorque pleins à ras-bord vers , des usines à n'en pas douter.
Serra da Estrella, une fontaine avec de l'eau naturelle qui n'a pas goût de chlore, parce que partout ailleurs au robinet elle est franchement mauvaise.
Le Mont de la Torre, point culminant du Portugal, et sa station de ski.
La vallée de Zêzere. Remarquable auge glaciaire, un cas d'école.
En descendant vers Gouveia (j'aurais pu ajouter d'autres photos...).
Passage par Guarda.
Ce soir nous bivouaquons en Espagne à proximité du Rio Huebra.
Samedi, sur la route du retour, c'est visite de Salamanque,
qu'il ne faut manquer sous aucun prétexte.
Enfin le dimanche, comme prévu, nous traversons les Pyrénées par le Col de la Pierre St Martin, c'est quand même plus sympa que l'autoroute.
"Le mieux est l'ennemi du bien"... Mais c'est bien d'essayer de faire mieux !
"Choisir c'est renoncer"
Mon aménagement sur Trafic
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