Bonjour,
Je fais un peu ce que je veux avec mes baignades
, non mais... Et puis BZH
c'était en 2017. On ne va quand même pas pas aller dans le norrrrd tous les deux ans...
Et puis c'est dangereux
.
Retour au Portugal...
A ce stade, ça fait 10 jours que nous y sommes. En gros il nous reste 6 à 7 jours à passer sur place si nous voulons être à Bagnères de Bigorre le dimanche suivant.
Pas de programme, mais quelques points de passage "obligés", dont Lisbonne raté à la descente...
Notre remontée vers le nord commence en suivant au plus près le Rio Guadiana. Ça nous change des paysages maritimo-balnéaires
.
Bivouac dans une oliveraie à quelques mètres du fleuve, malheureusement la hauteur des berges, qui plus est totalement embroussaillées, ne nous a pas permis la baignade/toilette. Tant pis, nous nous sommes contentés de la douche au cul du fourgon.
De beaux villages le long du parcours, coté espagnol...
Et coté lusitanien. Mértola.
Tout le long du Guadiana, il apparait clairement qu'espagnols et portugais se sont regardés en chiens de faïence pendant quelques siècles, une forteresse domine quasiment chaque village...
La route nous a amené à Arraiolos en cours d'après-midi.
Encore un château fort... Le village n'est pas exceptionnel, mais son artisanat oui. Mon épouse ne voulait rater sous aucun prétexte les tapis caractéristiques. Heureusement, qu'on avait pas la place dans le Trafic, les €uros non plus d'ailleurs, pour en ramener un.
Bivouac sympa ou bord d'un lac, et le lendemain c'est visite d'Evora,
que nous avons bien aimé.
Direction Lisbonne en cours d'après-midi, arrivée par le pont Vasco de Gama.
Pour être relativement sereins, nous nous installons au Lisboa Camping et nous nous déplacerons en transport en commun.
Le fameux tram n° 28.
Bien qu'arrivés tôt, toutes les places assises sont occupées par des touristes, oui comme nous, et les lisboètes font la gueule, à juste titre.
Les mères avec enfant(s) en bas âge restent debout, les vieux aussi... Comme nous n'étions pas assis, nous n'avons pas pu céder notre place ; sentiment de malaise quand même... Nous nous sommes laissés bringuebaler un gros quart d'heure sans voir grand chose (debout dans l'allée on est au dessus du niveau haut des fenêtres...) et puis, lassés, nous sommes descendus je ne sais où.
L'attraction est victime de son succès
, et en faire la promotion frise l'arnaque...
On enchaine avec le métro, après avoir "un peu" cherché notre chemin.
Un tour dans l'Alfama, les petites rues sont relativement calmes,
la foule se presse pour visiter le Caste de Sao Jorge, du coup on y va pas...
Déambulations par ci et par là, je ne vais pas vous mettre toutes les photos. Eh puis il est l'heure de manger... Dans un petit resto qui ne paye pas de mine, mais où ça n'arrête pas de rentrer et sortir. Et ce ne sont pas des touristes... Poisson, vino verde, Pastéis de Nata
, vhat else ? Café bien sûr
.
Direction Belem et sa tour.
Nous faisons la queue un bon quart d'heure, pour découvrir une affichette qui en gros dit ceci :
"Il y a un escalier de 93 marches pour accéder au sommet de la tour, il est très étroit. Déconseillé aux cardiaques et aux obèses (c'était dit différemment). Temps d'attente : 1h30 à 2h00."
Bien que ni cardiaque ni obèse, ça sera sans nous
.
Direction la tour de la découverte, au moins il y a un ascenseur (déconseillé aux claustrophobes
).
Retour dans Lisbonne centre, en bus.
Déambulations toujours, et on se dit qu'on irait bien voir le coucher de soleil au sommet de l'ascenseur de la rue San Justa.
Une queue pas possible qui remonte dans toute la rue.
A raison de 18 personnes par montée, très espacées les montées, y'en a pour plus de deux heures d'attente.
Ras le bol des files d'attente, et puis j'ai envie d'une mousse, nous filons.
Retour au camping vers 21h30...
Il nous reste le passage "obligé" par la Serra da Estrella, aujourd'hui c'est route, non sans prendre quelques détours.
Culture des tomates, au sol, dans la plaine alluviale du Tage. D'énorme machines, style moissonneuse batteuse, ramasse les tomates qui sont transportées par des semi-remorque pleins à ras-bord vers
, des usines à n'en pas douter.
Serra da Estrella, une fontaine avec de l'eau naturelle qui n'a pas goût de chlore, parce que partout ailleurs au robinet elle est franchement mauvaise.
Le Mont de la Torre, point culminant du Portugal, et sa station de ski.
La vallée de Zêzere. Remarquable auge glaciaire, un cas d'école.
En descendant vers Gouveia (j'aurais pu ajouter d'autres photos...).
Passage par Guarda.
Ce soir nous bivouaquons en Espagne à proximité du Rio Huebra.
Samedi, sur la route du retour, c'est visite de Salamanque,
qu'il ne faut manquer sous aucun prétexte.
Enfin le dimanche, comme prévu, nous traversons les Pyrénées par le Col de la Pierre St Martin, c'est quand même plus sympa que l'autoroute.
parce que quand je lis ça :
La route est longue et parfois très monotone dans la traversée de l'Espagne.
Premier bivouac à proximité de Miranda do Douro. Je demande au paysan, l'homme au tracteur, si je pouvais m'installer à proximité de l'abreuvoir où il remplissait sa citerne. 
La vallée du Douro. 
Porto
Barque traditionnelle dans la région d'Aveiro.
Aveiro.
Coimbra à 9h00. 
Vers midi, il fait beau nous décidons d'aller nous baigner, à minima de passer un moment à la plage.
La plage 
Le genre de paysage que nous traversons, sur des dizaines de km, le long de l'océan.
C'est écrit dessus.
La ville haute est plus sympa.
C'est là... Praia do Norte, le site de la plus haute vague surfée du monde... 
Obidos.
Peniche.
Sintra et le Palacio Nacional que nous visitons.
Nous ne visitons pas le palais national de Pena, trop de monde, et puis deux palais dans la journée c'est trop pour nous...
Cabo da Roca, dans le brouillard 
. C'est le point le plus à l'ouest de l'Europe continentale. Nous n'avons pas vu l'Amérique 
où nous nous somme baignés. L'eau n'était pas "si" froide, même si on ne peut pas dire qu'elle était chaude 
Bivouac sympa, mais le temps est toujours grisou en bord de mer 
Carapateira.
Cabo de Sao Vicente, dans le brouillard 
Lagos et la Punta da Piedade. Ça doit être sans bien tous les bateaux et les braillards qui les empruntent. Passons vite, d'autant que le soleil n'est pas resplendissant.
En recul du port, les murs de ce que je pense être une ancienne conserverie sont peints de fresques monochromes sur plusieurs dizaines de mètres. Réaliste et bien joli 
avant d'aller à la plage
où l'eau était largement baignable.
Bivouac dans une oliveraie à quelques mètres du fleuve, malheureusement la hauteur des berges, qui plus est totalement embroussaillées, ne nous a pas permis la baignade/toilette. Tant pis, nous nous sommes contentés de la douche au cul du fourgon.
De beaux villages le long du parcours, coté espagnol... 
Et coté lusitanien. Mértola.
Encore un château fort... Le village n'est pas exceptionnel, mais son artisanat oui. Mon épouse ne voulait rater sous aucun prétexte les tapis caractéristiques. Heureusement, qu'on avait pas la place dans le Trafic, les €uros non plus d'ailleurs, pour en ramener un.
que nous avons bien aimé.
Le fameux tram n° 28. 
On enchaine avec le métro, après avoir "un peu" cherché notre chemin.
Nous faisons la queue un bon quart d'heure, pour découvrir une affichette qui en gros dit ceci :
Direction la tour de la découverte, au moins il y a un ascenseur (déconseillé aux claustrophobes 
Une queue pas possible qui remonte dans toute la rue. 
Culture des tomates, au sol, dans la plaine alluviale du Tage. D'énorme machines, style moissonneuse batteuse, ramasse les tomates qui sont transportées par des semi-remorque pleins à ras-bord vers 
Serra da Estrella, une fontaine avec de l'eau naturelle qui n'a pas goût de chlore, parce que partout ailleurs au robinet elle est franchement mauvaise.
Le Mont de la Torre, point culminant du Portugal, et sa station de ski.
La vallée de Zêzere. Remarquable auge glaciaire, un cas d'école.
En descendant vers Gouveia (j'aurais pu ajouter d'autres photos...).
Passage par Guarda. 
Ce soir nous bivouaquons en Espagne à proximité du Rio Huebra.
Samedi, sur la route du retour, c'est visite de Salamanque,
qu'il ne faut manquer sous aucun prétexte.
Enfin le dimanche, comme prévu, nous traversons les Pyrénées par le Col de la Pierre St Martin, c'est quand même plus sympa que l'autoroute.