Cotes standards d'aménagement

[Jack Burton]

Je pense qu'il restent plus de blondes que de navires aux normes "civilisées"

[ravely]

Edit du premier message concernant le copyright des documents utilisés.

[Romarin 06]

Bonsoir,

J'ai les documents en jpeg dans mon ordi depuis quelques années, voir ci-dessous....
L'autorisation de diffusion étant acquise (bravo à ceux qui ont cherché l'origine) je peux mettre les pages sur le forum, mais je crains que ça ne soit pas très lisible. Qu'en pensez-vous ?

[ravely]

Je peux mettre celle que j'ai retravaillées pour faire le pdf, elles sont correctes.

[Jack Burton]

Ce sont les mêmes que ton lien Doc ? C'est clair que ça devrait éviter bien des erreurs aux novices...

Moi en particulier

[Romarin 06]

Eh ben voilà, comme ça c'est fait...

[ravely]

Ce sont les mêmes que ton lien Doc ?

Oui, mais là elles sont en lecture directe sans téléchargement.

[Jack Burton]

Ok, tu es donc très polyvalent Y'a pas que l'aménagement qui compte, honte sur moi

[r galler]

et c'est lisible tel quel.

Vu la demande pour ce hors série n14 de loisirs nautiques sur les forums bateaux, ça pourrait bien faire plaisir à beaucoup d'autres aménageurs.

La question au chef (formats de fichiers sur le fofo) reste posée pour une autre fois, _ quand tu auras du temps de libre .

rOy

[djodjo44]

Merci au créateur d'autoriser la publication et merci à ravely d'avoir eu cette autorisation et d'avoir modifier ce sujet en conséquence.

Cela fait effectivement une bonne base pour l'aménagement.

Attention, pour les grands, car les planches ont dues être faites dans les années 80.
Perso j'ai dormi dans des lits de largeur 70cm, alors qu'apparemment, actuellement, il faut au minimum 80cm.

[Makokoy]

Histoire de faire un travail collégial et surtout parce que je ne sais pas quand j'aurais le temps de continuer, si ça dit à quelqu'un de faire un copié/collé, de mettre en forme et d'intégrer les images, voici le texte retapé par mes soins (à relire, il y a sûrement des erreurs !)

LES COTES UTILES A RESPECTER DANS LES AMENAGEMENTS

Avant même de prendre en main un quelconque outil ou morceau de bois, dès les premiers traits de crayon données pour élaborer ou simplement modifier un plan d’emménagement intérieur, on se heurte d’emblée à un problème de concrétisation de l’encombrement d’éléments le splus divers dans l’utilisation des volumes.

Couché
L’on ne peut évidemment pas (ou rarement…) garder à bord le même luxe d’aisance et débauche de place qu’à terre où le lit classique fait 90cm de large de la tête aux pieds, les formes curvilignes de la coque étant déjà le premier obstacle à cela, outre le manque relatif d’espace disponible : on se trouve donc obligé de tricher un minimum pour obtenir malgré tout des plans de couchage confortables et compatibles avec les formes en présence, mais savoir tricher raisonnablement implique la connaissance de certaines limites, à savoir : au niveau de la longueur, il n’est pas possible de changer grand-chose, et 1,90 m reste un minimum, l’incidence des mouvements du bateau sur les positions de sommeil incitant plutôt à porter cette longueur à 2 mètres (rien à gagner, donc, de ce côté-là!). Pour ce qui est de la largeur, et avant d’évoquer les minimums impératifs, disons que sur le plan du confort, on s’accommode tout à fait à une couchette de 70 cm de large, 80 cm dans le meilleur des cas apparaissant à bord comme un luxe suprème ! Cette largeur, nous l’avons dit, ne peut en tout état de cause rester constante sur toute la longueur, et la forme générale de la couchette reprend certaines caractéristiques selon qu’elle se trouve située sur l’avant, au milieu, ou sur l’arrière du bateau.

Compartiment toilette
A bord des petits bateaux, il contient au minimum un w.c. marin. Ici, des cotes trop étriquées rendent la vie difficile et inconfortable, peut-être davantage qu’ailleurs (fig. 87). De nos jours, la hauteur moyenne des sièges de w.c ; pour bateaux a tendance à baisser, par rapport aux appareils anciens : plus ou moins 30 cm, au lieur de 40 et plus autrefois. On rattrape cette hauteur en plaçant un socle sous l’appareil (fig. 88). La cuvette est éloignée de la paroi arrière pour permettre à l’abattant de tenir levé (fig. 88). Un débattement latéral suffisant est nécessaire, soit environ 60 cm de largeur totale. Cela évitera aux utilisateurs d’être obligés de se présenter à reculons pour s’asseoir.
Une h.s.b. de 1,70 m au moins, nous semble souhaitable. Ainsi, les hommes pourront se placer en position frontale sans avoir à fléchir les jambes ou à s’agenouiller carrément sur le plancher comme cela se produit trop souvent à bord des petits bateaux (fig. 87).
La figure 89 fait apparaître les cotes minima de confort, relatives à l’installation d’un lavabo digne de ce nom et utilisable pour une toilette normale. La hauteur du bord de la cuvette se situe entre 85 et 90 cm.

Le stables de carré
Ces tables, indispensables pour se tenir dans le carré et prendre les repas, n’ont pas toujours une surface convenable, correspondant au nombre de convives embarqués (et donc logiquement au nombre de couchettes installées par le constructeur). Évidemment, à bord d’un petit croiseur côtier, à voile ou moteur, on ne pourra prétendre à beaucoup d’aises de ce côté-là… Il faut pourtant convenir que chaque convive devrait disposer d’un morceau de table mesurant au minimum 50 cm de large, pour 30 à 35 cm de profondeur.

De telles cotes supposent que l’on dresse une table normale d’honnêtes gens, comme à terre. Pourquoi d’ailleurs en serait-il autrement, par temps maniable ou au port ?
En l’occurrence, pour une table rectangulaire de 6/8 convives cela nous donne approximativement 1,50 m de long, pour 1 m de large.

La hauteur de cette table de carré dépendra évidemment de celle des sièges ou banquettes alentour. On se rappellera en tous cas qu’il est vraiment pénible de prendre un repas, engoncé sur un siège trop bas, l’assiette près du menton et les genoux remontant sous la table, jusqu’à la toucher.

Un débattement d’une dizaine de centimètres au-dessus des cuisses tenues horizontales n’est pas un luxe (fig.84). En outre, comme nous l’avons déjà signalé plus haut, les pieds disposeront d’un dégagement en avant et sur les côtés.
A noter que pour une siège de 45 à 55 cm de hauteur, l’altitude du plateur d’une table de carré oscille autour de 75 cm. (fig. 84).
La distance entre le bord de la table et le dossier devrait être comprise entre 40 et 45 cm ; elle devrait pouvoir être augmentée en dehors des repas, grâce à un dossier réglable.

Hauteur sous barrots
l’intérieur des cabines
A bord des bateaux de 6 à 7 mètres, la h.s.b. est environ 1,40 m à 1,75 m dans le carré, pour diminuer sensiblement en général quand on progresse vers l’avant (fig. 79). A partir de 8 m on trouve couramment 1,80 ou plus, parfois jusque dans le poste avant. On trouve même des hauteurs de 2 mètres. En fait, la norme à retenir est bien 1,90 m, et ceci dans la totalité des aménagements si possible (fig. 79).
Méfiez-vous des passages pratiqués à travers les cloisons, avec ou sans portes. La h.s.b. diminue alors parfois brusquement de 15 ou 20 cm (fig. 80). En particulier, soyez prudent lors du franchissement d’une ouverture ovale, dont la base a été surélevée du plancher. La hauteur disponible devrait dépasser 1,75 m (fig. 80).
A noter que la largeur d’une ouverture de cloison, pourvue ou non d’une porte, sera rarement inférieure à 45 cm, pour des raisons de confort évidentes (fig. 80). Dans une coursive (couloir entre cloisons) la cote traditionnelle de largeur est de 55 cm, si elle sert uniquement au passage et non à des manipulations de matériel (fig. 81).

La largeur des planchers
On a tendance à placer les planchers le plus bas possible dans beaucoup d’unités modernes, dotées d’un fond presque plat. C’est une bonne pratique pour gagner de la h.s.b. mais paradoxalement elle fait souvent perdre une partie de l’espace vital au sol. Si vous quittez la zone centrale relativement étroite, vous rencontrerez rapidement les plans inclinés des fonds du bateau, parfois glissants, et en tous cas impropres à une station debout normale. Il était nécessaire de rappeler ici cet inconvénient fâcheux limitant l’espace vital, particulièrement contrariant dans un poste avant, une cuisine, une salle d’eau et sous la partie extrême d’une banquette transversale. En l’occurrence, il paraît difficile de donner des cotes de valeur absolue pour les planchers compte tenu des tailles très diverses des unités habitables concernées.

La position assise
Pour donner une station assise confortable, une banquette doit s’élever au-dessus du plancher à une hauteur de 45 à 50 cm. La profondeur varie entre 40 et 45 cm. Le dossier remonte jusqu’aux omoplates, qu’il soutient, entre 45 et 55 cm. avec une inclinaison discrète (5°) vers l’arrière (fig. 84).
Devant cette banquette, les pieds disposent d’une surface d’environ 50 x 50 cm, venant un peu en retrait si possible, pour le confort des talons quand on désire changer de position et ne pas s’ankyloser (fig. 84).
Il sera difficile de se relever sans appréhension si une h.s.b. convenable n’a pas été prévue et dans tous les cas celle-ci ne sera pas inférieur à 90 cm au dessus du siège.
Attention aux angles de rouf saillants, souvent fâcheusement situés juste au-dessus des banquettes de carrés.

ASSIS
Nous entrons là dans le domaine des banquettes et tabourets : la hauteur passe-partout d’un siège confortable pour une activité assise est comprise entre 40 et 45 cm de plancher ; la profondeur de ce siège est alors de 38 cm, toujours dans les mêmes conditions c’est-à-dire lorsque l’on se tiens droit, assis devant une table par exemples, ce qui nous ramène aux banquettes de carré ; restons, dans un premier temps, cantonné à cet endroit : si vous voulez pourvoir ces banquettes d’un dossier, sachez que la hauteur minimum à respecter pour ce dernier est de 40 cm s’il vous suffit de pouvoir s’y caler les reins, 60 cm pour qu’il aille jusqu’aux épaules, et 90 cm pour un appuie-tête. Le dégagement au plancher entre le bas de la façade de la banquette et le pied de table doit être au minimum de 30 à 35 cm pour que le pied de l’individu repose à plat ; autre détail important et à garder présent à l’esprit lors de la conception de la table, il faut prévoir pour les genoux un dégagement d’au moins 12 cm entre le haut de ces derniers et le dessous de la table, ce qui revient à donner en moyenne 30 cm entre la banquette et la table : le dessus de cette dernière est, puisque nous y sommes, situé entre 72 et 76 cm du plancher.

J’ai volontairement jusqu’ici parlé de position assise en activité, afin de faire opposition avec la position assise de repos, ou délassement où les cotes diffèrent, pour le cas où vous pourriez disposer de la place ou installer un coin plus spécialement salon que salle à manger, vous noterez aussi qu’il est tout à fait possible d’obtenir de bons compromis en augmentant la profondeur de la banquette et reculant et inclinant le dossier (mais n’anticipons pas ! ) ou en faisant un carré à disposition dissymétrique avec d’un côté une partie exclusivement destiner au manger, et l’autre destiné au prélassement avec fonction occasionnelle de manger lorsque le nombre de convives augmente épisodiquement (utilisant alors une partie escamotable de la table…).

Dinnettes-banquettes de carré. Une simple banquette de carré, située à 40 ou 45 cm du plancher, comme nous l’avons vu, et d’une largeur correspondant aux mêmes chiffres, ne peut généralement servir directement au couchage. Pour y dormi, il convient d’y ajouter 15 ou 20 cm. On les obtient soit en tirant la banquette sur des glissières, afin de l’élargir jusqu’au format d’un lit simple normale ou d’une couchette double, soit en enlevant le coussin dormant dossier. Souvent, ce même dossier se relève pour donner une couchette supérieure (fig. 94). Les couchettes de ce type sont rarement agréables à occuper.

Couchettes pour deux personnes et « tatamis ». Si l’on prend comme base moyenne de largeur pour une couchette simple 65 cm, une couchette double peut raisonnablement atteindre 1,30 m, avec une longueur de 1,90 m. Certains architecte vont jusqu’à 1,40 m, gabarit habituel des sommiers et matelas doubles à terre.
En ce qui concerne les « tatamis », vastes plates-formes de repos et de couchage adoptées par un assez grand nombre de constructeurs amateurs et de navigateurs hauturiers il n’existe pour l’instant aucune cote, les bordés du bateau constituant les frontières naturelles de ces insondables divans.
Les couchettes doubles à transformation s’établissant à la place de la table du carré ont des cotes variables. On peut prendre comme base 1,90m x 1,20m à 1,40

Couchettes-cercueil. A l’opposé, ces couchettes de fortune, très répandues à bord des bateaux actuels resteront soumises à des normes relativement strictes afin que l’équipier ne se sente pas pris au piège dans un tunnel lorsqu’il s’y allonge. Longueur : 1,90 m minimum. Largeur : pas inférieure à 55 cm.

DEBOUT
La station debout est autant une station de déplacement que de travail ; hormis la notion de hauteur sous barrot pour la première (d’avantage inhérente à l’architecture du bateau qu’à la construction des aménagements), la hauteur et le positionnement des divers équipets et plans de travail découlent directement de la seconde. D’autre part, puisque l’on circule (au sens propre du terme), à l’intérieur d’un bateau, il faudra tenir compte des mensurations d’un homme debout se déplaçant, principalement dans les zones dites exclusivement de passage : les coursives, les ouvertures de cloisons (qu’il y ait porte ou non…) et les différences de niveaux (descente).
Théoriquement, il faut admettre pour ce qui concerne la hauteur d’une porte ou autre ouverture de passage dans une cloison, que l’on doit disposer presque intégralement de la hauteur sous barrot ; or, plus on se rapproche des extrémités avant ou arrière, plus celle-ci diminue, de sorte qu’il n’est pas parfois pas possible d’obtenir les 1,80 m ou 1,75 m souhaitables : il faut alors que, baissant simplement un peu la tête, on marche encore à l’aise dans 1,60 m (nous nous plaçons là encore, bien sûr, dans le cas général, standard, où l’on constate d’autre part que l’on marche toujours légèrement courbé en avant, la tête ainsi inclinée, lorsqu’on franchit un passage dont la hauteur se réduit brutalement, ce qui est le cas d’une porte).
Pour ce qui est de la largeur de ces ouvertures, il faut considérer 60 cm comme un minimum confortable à respecter : en dessous, on ne franchit plus, on se faufile ! Cependant, à cause de la forme ou de l’étroitesse de la coque, l’encombrement d’un placard ou autre banquette sur le passage… il est parfois difficile de disposer des 60 cm d’ouverture de cloison nécessaires en largeur : il est intéressant de savoir que, tenant compte de la morphologie de l’individu, cette largeur n’a pas absolument besoin d’être constante (dans certaines limites) sur toute la hauteur.

L’ergométrie
L’aménagement d’un bateau à partir d’une coque nue, ou presque, fait surgir maints points d’interrogation sur ce qu’il est possible d’installer ci ou là, compte tenu de la place disponible, de l’encombrement des objets à loger et de diverses contraintes liées à l’accomobilité, aux opérations d’inspection, d’entretien et à la maléabilité de notre corps. Dans l’espace réduit du ventre d’un bateau, on se propose d’emporter tant d’affaires que c’est un casse-tête. La notion d’économie du volume disponible se fait alors jour dans toutes sa rigueur. Et cela, d’autant plus que jamais, dans la conception d’un bateau, ne passe en priorité d’y faire rentrer « X » personnes, « Y » bagages, « Z » provisions et « Z » équipements. Sinon, pourquoi ne pas, du premier coup, faire un chaland.

QUELQUES MESURES

Pour un homme debout de 1,70 à 1,75 m :
- hauteur du regard : 1,65 m (fig.1)
- hauteur bras levé : 2,10 m (fig.2)
- hauteur bras horizontaux : 1,50 m (fig.3)
- largeur, vu de face : 0,63 m (fig.4)
- largeur, jambes écartées : 0,80 m (fig.5)
- envergure des coudes : 0,85 m (fig.6)
- envergure totale : 1,75 m (fig.7)

Assis sur un siège de 0,44 m de haut :
- hauteur du regard : 1,20 m (fig.14)
- hauteur de la nuqye : 1,10 m
- hauteur des reins : 0,70 m
- hauteur du bras levé : 1,80 m
- largeur des épaules : 0,45 m
- largeur du fessier : 0,48 m
- profondeur du siège : 0,45 m

Assis sur un fauteuil de 0,35 m de haut :
- hauteur du regard : 1,10 m (fig.18)

Table devant un siège de 0,44 m de haut :
- hauteur d’une table à écrire : 0,75 à 0,80 m (fig.16)
- hauteur nécessaire sous la traverse : 0,60 (fig.16)
- retrait nécessaire devant le genou par rapport au bord de la table : 0,20 à 0,25 m (fig.17)

Table de salle à manger :
- hauteur : 0,73 à 0,75 m (fig.15)
- largeur : 0,55 à 1,10 m
- espace nécessaire par personne : 0,60 à 0,70 m (+ 20 cm si on utilise la place en bout de table)
- diamètre d’une table ronde : (0,60 m X nombre de places)/3,14

Table à écrire debout :
- hauteur 1,00 à 1,10 m (fig.13)
- table basse de salon
- hauteur 0,35 à 0,45 m (fig.18)

Meuble à tiroir :
- hauteur maximum pratique : 1,60 m

Rangement au sol :
- Recul nécessaire à genoux : 1,15 m (fig.8)
- recul nécessaire accroupi : 1,00 m (fig.9)

Etagères, hauteur atteinte :
- derrière une table de 90 cm : 1,50 m (fig.10)
derrière une table de 50 cm : 1,90 m (fig.11)
- sans escabeau : 2,00 m (fig.12)

Bibliothèque, largeurs des étagères :
- habituellement : 0,20 m – 0,25 m – 0,30 m – 0,35 m
- plus rarement 0,15 m ou 0,40 m

Penderie :
- hauteur minimum : 1,25 m
- profondeur : 0,50m
- hauteur pour robes : 1,60 m
- chemise pliée : 0,35 x 0,25 m
- hauteur de 10 chemises pliées : 0,12 m
- une paire de chaussures : 0,30 x 0,22 m
- hauteur d’une botte : 0,47 m
- hauteur des bouteilles de 0,75 l : 0,31 m
- hauteur des bouteilles de 1 litre : 0,33 m
- hauteur d’une bouteille de vin d’Alsace : 0,36 m

[ravely]

Perso j'ai dormi dans des lits de largeur 70cm, alors qu'apparemment, actuellement, il faut au minimum 80cm.

J'ai dormi encore la semaine dernière sur un lit de camps parce que j'allais garder mon petit-fils, c'est du 60cm.

A part une place pour le chat au pied du lit, qui m'a croqué un doigt de pied au milieu de la nuit parce que je bougeais trop , il n'y a pas de quoi faire des galipettes... juste dormir.

[r galler]

Attention, pour les grands, car les planches ont dues être faites dans les années 80.
Perso j'ai dormi dans des lits de largeur 70cm, alors qu'apparemment, actuellement, il faut au minimum 80cm.

les normes actuelles (je donnais en ex. la marine marchande) sont encore plus exigeantes.
J'ai aussi navigué en rivière sur une vedette hollandaise, j'aurais aimé avoir au moins 70cm de couchette
L'intérêt de ce doc est de donner des cotes minimales et du bon sens.
L'adaptation est certainement nécessaire, mais si on prend l'exemple de la hauteur d'assise, même avec un H4, il sera préférable de s'en tenir aux cotes de ce doc.
Il est basé sur la morphologie humaine.

le chat au pied du lit, qui m'a croqué un doigt de pied

tu t'en sort bien

rOy

[euskadi33]

Bonjour,

Tu as raison, ce document est de 1982
Il y a peu de temps, il y a eu une campagne nationale afin
d'établir les nouvelles cotes standard liées à l'augmentation
de notre taille

[Jack Burton]

Perso je n'ai pas grandi depuis 1982 donc ce document me convient parfaitement