FredMC a écrit : j’ai isolé à l'armaflex 19mm sur les côtés + fibre de bois 40mm.
Et oui, focalisé sur l’armaflex, j’ai ignoré que tu as aussi utilisé de la fibre de bois. Dont l’inertie thermique contribue à l’efficacité de ton isolation. Avec en plus du CP de 15mm. On n’a rien sans rien!
Je reste sur mon idée que l’isolation joue surtout pour limiter l’entrée de chaleur. En périodes froides, compte tenu des aérations indispensables, je mise plutôt sur le chauffage. Ton retour d’expérience me parait aller dans ce sens.
A 1 m du plancher, de tôle à tôle dans un ducat ça fait 201cm. Donc 7.4cm d’épaisseur d’isolant CP compris (1.9+4+1.5) x2 ça te laisse (si je ne me trompe pas) 186 cm de largeur pour un lit perpendiculaire au fourgon. Ce qui n'est pas mal au final.
Je ne me réjouis de ne faire que 1.72 bien étiré et j’évite de choisir des «doudous» qui me dépasseraient de trop
Mais pour une raison de confort (sensation d’espace) j’essaie pourtant de gagner un peu plus en largeur. Donc au niveau du couchage: 19 mm d'armaflex à même la tôle, isobulle 5 mm et Cp de finition 1 cm (9mm?). Je ne vais pas fixer les tasseaux sur les raidisseurs, mais entre, à l’horizotale. Isobulle et CP plaqueront donc sur les raidisseurs recouverts d’armaflex 9 mm comme je crois avoir compris que tu as fait. Mais ainsi au niveau de ces raidisseurs il y aura probablement une faiblesse dans l’isolation. Et je doute que mon choix d'isolation soit aussi efficace que le tien. Et juste pour avoir 188cm au niveau du matelas (à 90 cm du plancher). Alors ton utilisation de 4 cm de fibres de bois me fait réfléchir au vu de l’efficacité.
Comment font les constructeurs pour arriver à dégager des lits perpendiculaires de 190 cm ! A part les châssis FIAT élargis spéciaux CC, Les fourgons qu’ils aménagent sur les caisses DUCATO standards doivent être bien peu isolés sur les cotés
Et ces raidisseurs qui mangent 2x4 cm sur la largeur... J’ai vu que certains les font sauter au niveau du lit... J’ai hésité, puis j’ai pensé qu’ils ne doivent pas être inutiles
Bon, à me prendre la tête comme ça, je n'avance pas