IRAN, 1977-2017, 40 ans !
- triptrafic
- Traficaménageur
- Messages : 563
- Enregistré le : lun. 19 oct. 09 10:24
- Localisation : Toulouse
IRAN, 1977-2017, 40 ans !
Bonjour les amis
Un récit de la traversée complète des hauts-plateaux anatoliens,
de l'Ouest vers l'Est,
du Bosphore à l'Iran,
plus de 1 500 km,
en conditions hivernales,
sur 40 ans !
LE CONTEXTE
L’OBJECTIF 2017
Refaire cette photo 40 ans plus tard
La qualité de ce cliché est médiocre, mais je n'en ai pas d'autres.
Il a été pris l'été 1977 à la douane de Bazargan, côté Iran, avec Ron D.
Ceux qui ont roulé dans cette région le savent, il n’y a pas un, mais deux Ararat.
Le grand et le petit, en turc, Ağrı Dağı et Küçük Ağrı Dağı.
5165 m pour le premier, un peu moins de 4000 pour le second.
Ils savent aussi que c’est depuis l’Iran et l’Arménie que les 2 sommets sont parfaitement visibles,
plus que depuis Doğubayazıt.
Donc, il nous fallait absolument entrer en Iran
LE RÉCIT
La plupart des photos de cet album ont été prises en mars 2017.
Elles suivent la traversée Ouest-Est du plateau anatolien en intégrant des clichés des années 70.
Merci à mon ancien collègue Ron the Rosbeef et aux autres chauffeurs d'Astran,
avec qui certaines photos ont été prises
2. Depuis le poste-frontière Turco-Bulgare de Kapikule jusqu’à Istanbul, il y a aujourd’hui une superbe autoroute.
Les routiers allemands ne s’arrêtaient pas au Londra camping mais à Haydarpasa, sur le parking de la station DKV.
3. Pour traverser le Bosphore, il y a maintenant 3 ponts et un tunnel.
Jusqu’en 1973 et la construction de Boğaziçi Köprüsü, le premier pont, les PL empruntaient un bac !
4. Après quelques centaines de km en Anatolie, on abordait les premiers cols.
Sur cette vieille photo, les 3 choses que le gamin que j'étais détestait le plus,
les Magirus-Deutz, le Bolu, les Bulgares
Les anciens comprendront !
5. En 2017, on passe sous le Bolu par un tunnel qui débouche sur le plateau anatolien sillonné de superbes 2 X 2 voies.
6. Côté nourriture par contre, heureusement, rien n’a changé !
Ragoût d’agneau, pommes de terre et légumes cuisinés, Ayran ….. toujours aussi délicieux.
7. Le soir, on s’arrête pour la nuit dans une petite bourgade anatolienne.
Comme souvent, près d’un édifice religieux.
8. Le lendemain, nous reprenons la route vers l’Est dans des conditions parfaites pour un mois de mars.
Comparé aux années 70, j’ai l’impression de piloter un avion !
9. Car en 1976, la route, c’était ça !
10. Au fur et à mesure de notre progression vers l'est, on découvre l’Anatolie profonde, rurale, aux conditions de vie difficiles …………
11. A 2000 m, la neige est omniprésente.
Les températures extérieures sont négatives.
Mais par chance, pas d’humidité, donc pas de routes glacées !
12. Comme il y a 40 ans, je m'arrête pour déjeuner au milieu des garages.
13. Certes, ce n'est pas très romantique, mais c’est là que l’on y mange le mieux !
14. On continue ensuite vers l’est et entrons en zone à majorité kurde.
Rien n’a changé !
Partout, la police,
les militaires surarmés,
les barrages avec des blindés,
les contrôles d'identité,
les fouilles complètes du fourgon.
La routine ...........
15. Sur le bord des routes, on trouve maintenant des fontaines.
Plus besoin d’aller casser la glace de l'Araxe pour remplir ses bidons !
16. Mais ce qui a vraiment changé, c’est l’amélioration du réseau routier.
En 1977, après Imranli, on chaînait dans le Kızıldağ Geçidi , le premier des 4 cols à plus de 2000 jusqu’à Doğubayazıt
17. Aujourd’hui, de gros efforts sont faits.
Salage préventif, engins de déneigement prépositionnés, 2 X 2 voies, B.A.U ….
Ce qui nous permet de passer Erzican et de rouler jusqu’à Erzurum.
18. A 2000 m d’altitude, Erzurum est une des villes les plus froides de Turquie.
Moins 7 degrés lors de notre passage ! Sans chauffage stationnaire, il est hors de question de faire dormir madame dans le fourgon.
On trouve facilement une petite pension près de la gare.
Pour une poignée d’Euros, nous avons une chambre bien chauffée avec salle de bains privée et parking pour le Trafic !
19. Le lendemain matin, on débute par un copieux petit déjeuner traditionnel, servi à volonté !
20. Puis sur la route, on retrouve des conditions exceptionnelles pour un mois de mars.
Comme dans les années 70, nous suivons l’Araxe jusqu’à Horasan.
21. Je voulais montrer à Sylvie la mythique Tahirpass.
Il y 40 ans, je n’aurai jamais dû y rouler puisque la nouvelle route construite par les militaires avait ouvert en 1974.
Sauf qu’un éboulement début 1976 les a contraints à rouvrir pendant 3 mois l’ancienne route.
22. Comme ici en 1976, Il faut quitter la route principale, traverser le hameau de Tahir
et monter jusqu’au col avant la descente où le chauffeur Hongrois a été attaqué par les loups.
23. Malheureusement, après quelques km, la neige rend impossible la montée en 2 RM.
Voulant arriver rapidement à Bazargan, je choisis de ne pas mettre les chaînes et de faire demi-tour.
Nous reprenons la route d’Agri.
24. Un peu plus tard, on quitte à nouveau les grands axes pour un petit village isolé, perdu sur ces hauts plateaux glacés.
25. C’est pourtant ici que l’on dégustera les meilleures crêpes anatoliennes fourrées à la viande de tout ce voyage !
26. Puis, nous montons l’İpek Geçidi , un autre col à plus de 2000 m où en 1976 un F88 hollandais s’est renversé devant moi.
Je me souvenais que par temps clair on voyait les 5 165 m de l’Ararat.
La chance est avec nous, le temps est magnifique, le spectacle exceptionnel
27. Nous continuons jusqu’au poste-frontière turc de Gürbulak.
Dans les années 70, entre Doğubayazıt et Maku, c’était encore de la piste.
28. En 2017, les files de PL font toujours plusieurs km mais sur le goudron !
29. A Gürbulak, dernier repas en Anatolie.
Mais l’Iran est déjà là, puisqu’on boit du Dough, beaucoup plus fermenté que l’Ayran.
Pendant 4 semaines en Perse, Sylvie ne s'y habituera pas !
30. Nous arrivons enfin à la douane Iranienne.
En mars 2017, c’était encore Norouz.
Les Iraniens sont toujours aussi nombreux à aller faire leurs achats à Dogu.
Ce qui me laisse le temps de prendre cette photo,
au même endroit, 40 ans plus tard !
Voilà, la boucle est bouclée ............
Amicalement
Sylvie & Bernard
Un récit de la traversée complète des hauts-plateaux anatoliens,
de l'Ouest vers l'Est,
du Bosphore à l'Iran,
plus de 1 500 km,
en conditions hivernales,
sur 40 ans !
LE CONTEXTE
L’OBJECTIF 2017
Refaire cette photo 40 ans plus tard
La qualité de ce cliché est médiocre, mais je n'en ai pas d'autres.
Il a été pris l'été 1977 à la douane de Bazargan, côté Iran, avec Ron D.
Ceux qui ont roulé dans cette région le savent, il n’y a pas un, mais deux Ararat.
Le grand et le petit, en turc, Ağrı Dağı et Küçük Ağrı Dağı.
5165 m pour le premier, un peu moins de 4000 pour le second.
Ils savent aussi que c’est depuis l’Iran et l’Arménie que les 2 sommets sont parfaitement visibles,
plus que depuis Doğubayazıt.
Donc, il nous fallait absolument entrer en Iran
LE RÉCIT
La plupart des photos de cet album ont été prises en mars 2017.
Elles suivent la traversée Ouest-Est du plateau anatolien en intégrant des clichés des années 70.
Merci à mon ancien collègue Ron the Rosbeef et aux autres chauffeurs d'Astran,
avec qui certaines photos ont été prises
2. Depuis le poste-frontière Turco-Bulgare de Kapikule jusqu’à Istanbul, il y a aujourd’hui une superbe autoroute.
Les routiers allemands ne s’arrêtaient pas au Londra camping mais à Haydarpasa, sur le parking de la station DKV.
3. Pour traverser le Bosphore, il y a maintenant 3 ponts et un tunnel.
Jusqu’en 1973 et la construction de Boğaziçi Köprüsü, le premier pont, les PL empruntaient un bac !
4. Après quelques centaines de km en Anatolie, on abordait les premiers cols.
Sur cette vieille photo, les 3 choses que le gamin que j'étais détestait le plus,
les Magirus-Deutz, le Bolu, les Bulgares
Les anciens comprendront !
5. En 2017, on passe sous le Bolu par un tunnel qui débouche sur le plateau anatolien sillonné de superbes 2 X 2 voies.
6. Côté nourriture par contre, heureusement, rien n’a changé !
Ragoût d’agneau, pommes de terre et légumes cuisinés, Ayran ….. toujours aussi délicieux.
7. Le soir, on s’arrête pour la nuit dans une petite bourgade anatolienne.
Comme souvent, près d’un édifice religieux.
8. Le lendemain, nous reprenons la route vers l’Est dans des conditions parfaites pour un mois de mars.
Comparé aux années 70, j’ai l’impression de piloter un avion !
9. Car en 1976, la route, c’était ça !
10. Au fur et à mesure de notre progression vers l'est, on découvre l’Anatolie profonde, rurale, aux conditions de vie difficiles …………
11. A 2000 m, la neige est omniprésente.
Les températures extérieures sont négatives.
Mais par chance, pas d’humidité, donc pas de routes glacées !
12. Comme il y a 40 ans, je m'arrête pour déjeuner au milieu des garages.
13. Certes, ce n'est pas très romantique, mais c’est là que l’on y mange le mieux !
14. On continue ensuite vers l’est et entrons en zone à majorité kurde.
Rien n’a changé !
Partout, la police,
les militaires surarmés,
les barrages avec des blindés,
les contrôles d'identité,
les fouilles complètes du fourgon.
La routine ...........
15. Sur le bord des routes, on trouve maintenant des fontaines.
Plus besoin d’aller casser la glace de l'Araxe pour remplir ses bidons !
16. Mais ce qui a vraiment changé, c’est l’amélioration du réseau routier.
En 1977, après Imranli, on chaînait dans le Kızıldağ Geçidi , le premier des 4 cols à plus de 2000 jusqu’à Doğubayazıt
17. Aujourd’hui, de gros efforts sont faits.
Salage préventif, engins de déneigement prépositionnés, 2 X 2 voies, B.A.U ….
Ce qui nous permet de passer Erzican et de rouler jusqu’à Erzurum.
18. A 2000 m d’altitude, Erzurum est une des villes les plus froides de Turquie.
Moins 7 degrés lors de notre passage ! Sans chauffage stationnaire, il est hors de question de faire dormir madame dans le fourgon.
On trouve facilement une petite pension près de la gare.
Pour une poignée d’Euros, nous avons une chambre bien chauffée avec salle de bains privée et parking pour le Trafic !
19. Le lendemain matin, on débute par un copieux petit déjeuner traditionnel, servi à volonté !
20. Puis sur la route, on retrouve des conditions exceptionnelles pour un mois de mars.
Comme dans les années 70, nous suivons l’Araxe jusqu’à Horasan.
21. Je voulais montrer à Sylvie la mythique Tahirpass.
Il y 40 ans, je n’aurai jamais dû y rouler puisque la nouvelle route construite par les militaires avait ouvert en 1974.
Sauf qu’un éboulement début 1976 les a contraints à rouvrir pendant 3 mois l’ancienne route.
22. Comme ici en 1976, Il faut quitter la route principale, traverser le hameau de Tahir
et monter jusqu’au col avant la descente où le chauffeur Hongrois a été attaqué par les loups.
23. Malheureusement, après quelques km, la neige rend impossible la montée en 2 RM.
Voulant arriver rapidement à Bazargan, je choisis de ne pas mettre les chaînes et de faire demi-tour.
Nous reprenons la route d’Agri.
24. Un peu plus tard, on quitte à nouveau les grands axes pour un petit village isolé, perdu sur ces hauts plateaux glacés.
25. C’est pourtant ici que l’on dégustera les meilleures crêpes anatoliennes fourrées à la viande de tout ce voyage !
26. Puis, nous montons l’İpek Geçidi , un autre col à plus de 2000 m où en 1976 un F88 hollandais s’est renversé devant moi.
Je me souvenais que par temps clair on voyait les 5 165 m de l’Ararat.
La chance est avec nous, le temps est magnifique, le spectacle exceptionnel
27. Nous continuons jusqu’au poste-frontière turc de Gürbulak.
Dans les années 70, entre Doğubayazıt et Maku, c’était encore de la piste.
28. En 2017, les files de PL font toujours plusieurs km mais sur le goudron !
29. A Gürbulak, dernier repas en Anatolie.
Mais l’Iran est déjà là, puisqu’on boit du Dough, beaucoup plus fermenté que l’Ayran.
Pendant 4 semaines en Perse, Sylvie ne s'y habituera pas !
30. Nous arrivons enfin à la douane Iranienne.
En mars 2017, c’était encore Norouz.
Les Iraniens sont toujours aussi nombreux à aller faire leurs achats à Dogu.
Ce qui me laisse le temps de prendre cette photo,
au même endroit, 40 ans plus tard !
Voilà, la boucle est bouclée ............
Amicalement
Sylvie & Bernard
Modifié en dernier par triptrafic le mar. 17 janv. 23 9:45, modifié 16 fois.
- alain.26
- Traficaménageur
- Messages : 166
- Enregistré le : dim. 08 juin 08 9:25
- Localisation : Drome
- Contact :
Bonjour
deux mots
Merci et Bravo
Je n'ai pas connu sous la forme "routier"
mais en CC jusqu'au sommet du Nemrut en Turquie (la première fois en 1966)
et l' Iran en auto
un grand plaisir de voir ces notes et photos
deux mots
Merci et Bravo
Je n'ai pas connu sous la forme "routier"
mais en CC jusqu'au sommet du Nemrut en Turquie (la première fois en 1966)
et l' Iran en auto
un grand plaisir de voir ces notes et photos
Cordialement @lain26
Mon site
http://voyagesalain26.over-blog.com
http://randosalain26.over-blog.com
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http://voyagesalain26.over-blog.com
http://randosalain26.over-blog.com
- patlec
- Traficaménageur
- Messages : 550
- Enregistré le : dim. 27 mars 16 17:59
- Localisation : Septentrion occidental
Tout ça me fait rêver, merci
Voyager à moto ou en van, aller voir, sentir, respirer librement l'ailleurs...
Trafic II série Extra 2012
Trafic II série Extra 2012
- fabio
- Traficaménageur
- Messages : 4808
- Enregistré le : mer. 03 janv. 07 16:16
- Localisation : 38240 Meylan
Super, comme d'hab!
Transit non homologué:
viewtopic.php?t=4953&highlight=
1er trafic non homologué:
viewtopic.php?t=5595
2eme trafic homologué:
viewtopic.php?t=37230
viewtopic.php?t=4953&highlight=
1er trafic non homologué:
viewtopic.php?t=5595
2eme trafic homologué:
viewtopic.php?t=37230
- triptrafic
- Traficaménageur
- Messages : 563
- Enregistré le : lun. 19 oct. 09 10:24
- Localisation : Toulouse
Merci à tous
Les anciens de ce forum s’en souviennent peut-être, il y a quelques années je vous avais présenté ici
la traversée NORD-SUD de l’Anatolie orientale, de l’Arménie à l’Irak !
viewtopic.php?t=28806&start=0&postdays= ... highlight=
C'était début avril 2011 et nous avions fait le détour jusqu'à la frontière iranienne
pour essayer de faire une photo des 2 Ararat.
SANS SUCCÈS !!!
Ce jour-là, temps couvert, brume, nuages, impossible de les apercevoir !
Certes, le lendemain, à Doğubayazıt, un miracle !
La montagne sacrée est apparue.
MAGIQUE
Mais il manquait le petit Ararat.
Il m’a fallu 6 ans d’attente pour l’avoir.
6 ans
Mais ça y est, je l’ai eu
Bernard
Les anciens de ce forum s’en souviennent peut-être, il y a quelques années je vous avais présenté ici
la traversée NORD-SUD de l’Anatolie orientale, de l’Arménie à l’Irak !
viewtopic.php?t=28806&start=0&postdays= ... highlight=
C'était début avril 2011 et nous avions fait le détour jusqu'à la frontière iranienne
pour essayer de faire une photo des 2 Ararat.
SANS SUCCÈS !!!
Ce jour-là, temps couvert, brume, nuages, impossible de les apercevoir !
Certes, le lendemain, à Doğubayazıt, un miracle !
La montagne sacrée est apparue.
MAGIQUE
Mais il manquait le petit Ararat.
Il m’a fallu 6 ans d’attente pour l’avoir.
6 ans
Mais ça y est, je l’ai eu
Bernard
- Gabichon74
- Traficaménageur
- Messages : 327
- Enregistré le : ven. 29 nov. 13 22:50
- Localisation : Près du Macumba
- triptrafic
- Traficaménageur
- Messages : 563
- Enregistré le : lun. 19 oct. 09 10:24
- Localisation : Toulouse
Merci
Un mot sur l’équipement pour une traversée hivernale.
Une vieille paire de chaînes, en 15 mn, incassables, la même depuis 20 ans.
Pas de maillons inférieurs à 12 pour les 2 tonnes du traf.
Rangées en soute à la place d’un bidon inutile puisqu’on trouve de l’eau partout en Anatolie.
Ces chaînes ont beaucoup voyagé, Caucase, Islande, Oural, Sibérie ……. sans aucune utilité !
Alors pourquoi m’obstiner ?
Quand j’ai les chaînes dans le coffre, elles ne servent jamais.
Je décide de ne pas les prendre, je suis sûr de me tanker dans la neige fraîche
Bon, je retourne au boulot ............
Un mot sur l’équipement pour une traversée hivernale.
Une vieille paire de chaînes, en 15 mn, incassables, la même depuis 20 ans.
Pas de maillons inférieurs à 12 pour les 2 tonnes du traf.
Rangées en soute à la place d’un bidon inutile puisqu’on trouve de l’eau partout en Anatolie.
Ces chaînes ont beaucoup voyagé, Caucase, Islande, Oural, Sibérie ……. sans aucune utilité !
Alors pourquoi m’obstiner ?
Quand j’ai les chaînes dans le coffre, elles ne servent jamais.
Je décide de ne pas les prendre, je suis sûr de me tanker dans la neige fraîche
Bon, je retourne au boulot ............
bonsoir,Ces chaînes ont beaucoup voyagé, Caucase, Islande, Oural, Sibérie ……. sans aucune utilité !
tu peux aussi t'en servir pour te sortir de bourbier... deja fait et ca marche tres bien
perso je les gardes été comme hiver
“Les deux mots les plus brefs et les plus anciens, oui et non, sont ceux qui exigent le plus de réflexion.”
Pythagore
Pythagore